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Pour Saraswati: L'aqueuse
Trop de poésie pour une île miniscule
S'il vous plaît
N'écrivez plus
Plantez les arbres,
Et Arossez...Gür Genç
Je donne la voix à l'occlusive
Ne sachant si c'est l'entrée ou la sortie, à la hâte
Et le liquide suivit gr gr gr
L'air sort et je fais la moue
et pousse ma langue pour tailler la souffle
Saisir l'illusion caché derrière le syllabe
Ni toi ni moi
Ni front ni dos
Dans le dérapage d'un rêve
Tu me donne une code à te chercher
Mais l'un de chiffres tombe dans l'oubli
Un main caché offre le chaînon manquant
Sans ma demande
Mais si je tend la main et appelle
Sais-je quelles langues parleront?
Plutôt, j'envoie mes hommes à te chercher
Quand ils te ramènent
Je ne te reconnais pas
Je ne sais que l'émotion
Et en touchant tes cheveux
Je vériférai si c'est vraiement les algues de ton amant la mer.
Si tu es vraiement arrivée, pourquoi gardes-tu la silence?
Mainteant, je sais que tu n'es pas genç - les noms mentent
Tu es aussi vielle que la mer
Et le shiv
Le danceur ancien
Tu invites le silence
qui sonne avant et après le aa
le uu
et le mm
J'attend la poésie
ou c'est vraiement l'eau que j'attend
Je ferme mes yeux
Je récite le mantra-
gür --. gür-gür.
Par Jahooli Devi
Traduction de la poésie : Water for poetry par Stephanos Stephanides
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